COOPERATIVE PEULHE
DU NIGER
NOS PROJETS
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Fonçage d'un puits
Ce projet consiste en la création d'un puits supplémentaire dans les alentours du village de Tékinéwane.
Les activités que la Coopérative souhaite entreprendre à travers ce projet consistent :
A court terme à :
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Disposer d’un puisard dans une zone de mare temporaire pour mener des activités coopératives de pratiques des activités maraichères ;
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Disposer d’un stock de matières premières (semences, engrais et produits phytosanitaires) nécessaires à la pratique des activités maraichères ;
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Disposer d’un lot de petits outillages nécessaires à la pratiques des cultures maraîchères ;
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Disposer d’un stock de céréales et d’aliments bétail sous forme de banque mixte (céréales et aliments bétail) pour sécuriser les femmes travailleuses à la coopérative de la crise alimentaire récurrente au Niger ces derniers temps.
A moyen terme à :
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Dynamiser les circuits de commercialisation afin de faciliter l’écoulement des produits de la récolte ;
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Substituer progressivement les techniques traditionnelles culturales par les techniques modernes ;
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Encourager les techniques modernes de transformation, de conservation et de commercialisation des produits de la récolte à travers des formations et des dotations en matériels améliorées et/ou modernes ;
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Organiser ces coopératives en réseau/union ;
A long terme :
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Créer des point de vente dans certains centres urbains ou villes occidentales identifiés comme potentiellement rentables.
Le financement recherché s'élève à 6 807 384 F CFA (10 337,79 euros) sur coût global de 8 570 384 F CFA (13 065,47 euros) nécessaire à la réalisation du projet d'embouche ovine. La contribution locale (populations et coopérative) dans le financement s'élève à 1 763 000 F CFA (2687,70 euros) représentant environ 20,57% du financement.
2
Cantine scolaire
Il s’agit de la mise en place d'une cantine scolaire d'une cinquantaine de couverts en faveur de l'école communautaire de Tékinéwane dans le but d'améliorer les conditions d'études et taux de fréquentation scolaire.
Sur un effectif d'environ 89 élèves inscrits à l'école nomade de Tékinéwane, il ne reste qu'une cinquante d'élèves. La plupart ayant suivi leurs parents à la recherche de pâturage pour leur bétail. Il est connu de tous ici que l'insuffisance du pâturage occasionnant systématiquement le déplacement de certaines familles et par ricochet celle des élèves appartenant à celles-ci.
Au vue de cette situation, la Coopérative Artisanale Peulhe a proposé d’élaborer le présent dossier de microprojet d'appui à la cantine scolaire de l'école de Tékinéwane pour d'une part stopper l'abandon des écoles par les élèves pour suivre les parents et d'autre part sensibiliser les parents sur la question afin d'apporter les solutions idoines.
Par cette action, La Coopérative entend contribuer à ramener la sérénité à l'école. Cette action contribuera aussi à maintenir les élèves à l'école et évitera la fermeture de certaines écoles.
Site d’intervention : Village de Tékinéwane
Beneficiaries directs : 34 garçons et 23 filles (total 57)
Les bénéficiaires indirects : ils sont estimés à 349 ainsi que toute la population de Tékinéwane des hameaux et campements environnants car la scolarisation des enfants profite à tous à travers l’amélioration du niveau de vie des communautés à laquelle ils appartiennent.
Le financement recherché s'élève à 2 861 577 F CFA (4362,44 euros) sur coût global de 4 280 8 577 F CFA (6 525,70 euros) nécessaires à la réalisation du projet de cantine scolaire. La contribution locale (parents et coopérative) dans le financement s'élève à 1 418 740 F CFA (2 162,85 euros) représentant environ 33,14% du financement.
3
Reconstitution de troupeaux
Le projet consiste à redonner quelques têtes de bétail à des familles qui sont parties dans des pays voisins pour tenter de vivre dans de meilleures conditions, mais qui reviennent ruinées, ayant subi des violences par des groupes terroristes et vécu dans des bidonvilles. Grâce à ces troupeaux, elles retrouvent leur culture, leur dignité, et peuvent sortir du cercle vicieux de la pauvreté et de la violence.
RESULTATS ATTENDUS
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amélioration des conditions de vie de 25 femmes wodaabé retournées du Nigéria et autres pays voisins suite aux exactions de Boko Haram et autres Djihadistes, et réfugiées dans les villages de la Commune urbaine de Tchintabaraden à travers des activités de reconstitution du cheptel familial et la commercialisation des produits dérivés de l’élevage ;
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intégration et cohabitation pacifique des femmes wodaabé retournées du Nigéria et d'autres pays voisins du Niger ;
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amélioration des revenus des femmes wodaabé retournées du Nigéria et d'autres pays voisins du Niger bénéficiaires dudit programme d'autres pays voisins du Niger ;
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réduction d'au moins 10% de l'insécurité alimentaire au sein des ménages bénéficiaires.
Le financement recherché s'élève à 2 765 565 F CFA (4063,63 euros) sur coût global de 2 765 565 F CFA (4 216,07 euros) nécessaires à la réalisation du projet de reconstitution de troupeaux.
4
Embouche ovine par les femmes
Le projet consiste à donner en prêt à des femmes pauvre des animaux à nourrir pour qu'elles puissent ensuite les revendre et en tirer des bénéfices.
1. Objectif global :
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Contribuer à la lutte contre la pauvreté par l'amélioration des revenus des ménages vulnérables des zones à vocation pastorale.
2. Objectifs spécifiques :
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Améliorer les conditions de vie de 20 femmes pasteurs du village de Tékinéwane de la commune urbaine de Tékinéwane à travers des activités d'embouche ovine ;
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Octroyer 60 têtes de moutons à 20 femmes pasteurs vulnérables à raison de trois (3) par femmes pour ''emboucher'' puis ‘'revendre'' ;
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Améliorer les revenus des femmes pasteurs bénéficiaires du site concerné ;
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Réduire d'au moins 10% l'insécurité alimentaire au sein des ménages bénéficiaires.
Le financement recherché s'élève à 2 765 565 F CFA (4063,63 euros) sur coût global de 2 765 565 F CFA (4 216,07 euros) nécessaires à la réalisation du projet d'embouche ovine.